Le Concept
L'Iphonographie
Il s’agit d’un concept, d’une tendance qui consiste à faire des photos d’art avec son téléphone et les partager avec le reste du monde. A travers ce site, je vous présente mes expérimentations uniquement basées sur le ressenti de mes émotions, sans filtres, sans retouches, excepté pour le noir & blanc.
Je les partage sur les réseaux sociaux, dans des expositions chez les commerçants, mairies, mais surtout aussi avec l’association LyBaKapa dont je fais partie.
L’iphonographie est un outil formidable pour réaliser des instantanés du quotidien. Ces quelques photos sont donc le reflet de moments saisis dans ma vie, d’avoir été au bon endroit au bon moment, d’en avoir capturé l’essence et d’avoir choisi de les garder ou les partager….
Le fait d’avoir toujours un appareil photo sur soi produit un effet secondaire un peu inattendu : on se met immédiatement à observer beaucoup plus autour de soi. Je choisis toujours de rester dans l’instantané et de garder ma photo telle que je l’ai ressentie. Je peux aussi bien faire dans le « grand angle » mais aussi opter pour une démarche plus poussée dans la recherche du détail, l’exploration du tout petit allant jusqu’à l’abstraction avec la « macro » .
L'Iphonographie
Il s’agit d’un concept, d’une tendance qui consiste à faire des photos d’art avec son téléphone et les partager avec le reste du monde. A travers ce site, je vous présente mes expérimentations uniquement basées sur le ressenti de mes émotions, sans filtres, sans retouches, excepté pour le noir & blanc.
Je les partage sur les réseaux sociaux, dans des expositions chez les commerçants, mairies, mais surtout aussi avec l’association LyBaKapa dont je fais partie.
L’iphonographie est un outil formidable pour réaliser des instantanés du quotidien. Ces quelques photos sont donc le reflet de moments saisis dans ma vie, d’avoir été au bon endroit au bon moment, d’en avoir capturé l’essence et d’avoir choisi de les garder ou les partager….
Le fait d’avoir toujours un appareil photo sur soi produit un effet secondaire un peu inattendu : on se met immédiatement à observer beaucoup plus autour de soi. Je choisis toujours de rester dans l’instantané et de garder ma photo telle que je l’ai ressentie. Je peux aussi bien faire dans le « grand angle » mais aussi opter pour une démarche plus poussée dans la recherche du détail, l’exploration du tout petit allant jusqu’à l’abstraction avec la « macro » .
Un petit peu de moi
De formation artistique, avec un bac A3 (arts et littérature) et une licence en histoire des arts, je voulais restaurer les œuvres d’art mais aussi être institutrice. Les aléas de la vie ont fait que je n’ai fait ni l’un ni l’autre et que j’ai testé différents milieux de travail.
J’ai trouvé ma voie dans le social et suis devenue éducatrice spécialisée. J’exerce ce métier depuis 23 ans auprès de personnes en situation de déficience intellectuelle. Je n’ai jamais oublié mes formations initiales et je me suis appuyée dessus dans ma pratique professionnelle. J’ai toujours considéré que l’art, sous toutes ses formes, était libérateur et permettait à chacun de se mettre au même niveau.
La vie est faite de haut et de bas, et lors d’une période compliquée, la révélation s’est faite. Dans mon jardin, avec mon téléphone, j’ai testé ce que je pouvais prendre en photo « de près ». Prise au jeu et surtout frustrée de ne pas y arriver, j’ai commandé un kit s’adaptant à mon téléphone (un iphone 6) et j’ai découvert la macro (mais aussi le « fish-eye », le grand angle…).
Bref, un nouveau monde s’est ouvert à moi avec un changement de mon regard envers mon entourage.
L’évolution de la technologie a révolutionné ma pratique et m’a permis de mettre en place une ligne de conduite :
- pas de préméditation
- pas d’obligation à faire des photos si pas d’inspiration
- toujours se baser sur son ressenti, ce qui accroche mon regard
- pas de filtres (sauf pour le noir et blanc), pas de retouches
- accepter de ne pas pouvoir capter ce que je vois car j’ai un téléphone, avec ses limites, pas un appareil photo avec ses accessoires.
- j’aime, je garde ; je n’aime pas ou c’est raté, tant pis je jette.
J’ai commencé à exposer par hasard, avec la trouille au ventre de montrer ce que je faisais, donc de l’assumer.
Cette expérience m’a permis de prendre confiance en moi et de m’affirmer dans ma pratique. J’ai participé à plusieurs expositions en prenant toujours plus d’assurance jusqu’à postuler en 2022 dans une association d’artistes à Paimpol (Côtes d’Armor) où je vis. Ayant été admise, j’ai exposé auprès d’artistes où j’ai été reconnue par mes pairs.
Depuis décembre 2022, je me suis professionnalisée et régularisée auprès de la chambre des métiers d’arts .Les sujets de mes photos sont essentiellement basés sur mon quotidien ( travail, courses, repas…), l’endroit où je me trouve : lieu de vie, de vacances, avec une prédilection pour la mer et son patrimoine maritime et je ne suis pas contre les paysages enneigés ! Mes photos vont du panoramique, grand angle à la macro selon l’inspiration du moment. J’adore aussi détourner l’objet initial pour le sublimer en n’en prenant qu’une partie et faire voyager les personnes dans leur imaginaire. Je ne travaille pas sur commande car il n’y a pas d’émotions, de spontanéité. Je ne fais pas dans l’animalier ni dans le portrait.
En résumé, j’ai toujours mon téléphone sur moi que j’utilise…ou pas. Il peut se passer des périodes sans que je ne capture rien comme des journées où je prendrais 200 photos sur une carcasse de bateau….
Afin de partager ma pratique et surprendre le public, je m’appuie sur ce site, mes réseaux sociaux et les expositions qui sont un lieu d’échange pour qui veut.
